Tout d’abord la définition évidente, lue de partout :
Not Only SQL (ui, pour une fois ce n’est pas une définition récursive).
Ensuite ce qu’on entend le plus souvent : « un système de gestion de données pour les grands du web qui ont besoin de stocker des pétaoctets répartis sur des centaines de serveurs disséminés un peu partout sur la planète ».
Et la réalité ? Un peu des deux, et même plus. La première définition est la plus exacte, la seconde la plus emblématique.
NoSQL recouvre en réalité à peu près tout ce qui permet de stocker des données autrement qu’en suivant le modèle relationnel, et notament les modèles :
– Clef/valeur (Dynamo, Redis, Riak, etc.),
– Orientés colonnes (BigTable, HBase, etc.),
– Orientés documents (CouchDB, MongoDB, … Lotus Notes, etc.),
– Orientés graphes (Neo4j, AllegroGraph, HyperGraphDB, FlockDB, etc.).
On peut aussi ajouter les bases « Multivaluées », comme OpenQM, dérivée de … Pick (né en 1965 !), « orientées objets », comme ObjectStore, Caché, et certainement encore d’autres (je m’excuse d’avance auprès des auteurs et utilisateurs des modèles que j’ai oublié).